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Veille Juridique

CONSOMMATION – Prêt en devises étrangères : quand la connaissance par l’emprunteur des clauses abusives fixe le point de départ de la prescription…

CONSOMMATION – Prêt en devises étrangères : quand la connaissance par l’emprunteur des clauses abusives fixe le point de départ de la prescription… Cass. civ 1ère du 17 septembre 2025, n°23-23.629 Selon l’article 2224 du Code civil, les actions personnelles ou mobilières se prescrivent par cinq ans à compter du jour où le titulaire d’un droit a connu ou aurait dû connaî...

BAUX COMMERCIAUX – Le déplafonnement du bail commercial est valable même si le motif invoqué n’a aucune incidence sur réelle sur l’activité !

BAUX COMMERCIAUX – Le déplafonnement du bail commercial est valable même si le motif invoqué n’a aucune incidence sur réelle sur l’activité ! Cass. civ 3ème du 18 septembre 2025, n°24-13.288 Par principe, les loyers d’un bail commercial sont plafonnés. Cette règle vise notamment à préserver le locataire d’une hausse trop brutale de son loyer. Toutefois, en cas de...

SOCIAL – Frais professionnels et accueil d’un animal : absence de justificatifs, pas de remboursement

SOCIAL – Frais professionnels et accueil d’un animal : absence de justificatifs, pas de remboursement La Cour de cassation rappelle, dans un arrêt du 10 septembre 2025, que les frais engagés par un salarié pour les besoins de son activité professionnelle et dans l’intérêt de l’employeur doivent être remboursés, sauf accord contractuel prévoyant un forfait raisonnable et garantissant le respect du SMIC...

SANTÉ ET SÉCURITÉ AU TRAVAIL – Rhinite allergique et reconnaissance de maladie professionnelle : absence de lien direct avec l’activité de l’employé

SANTÉ ET SÉCURITÉ AU TRAVAIL – Rhinite allergique et reconnaissance de maladie professionnelle : absence de lien direct avec l’activité de l’employé La Cour de cassation a récemment confirmé qu’un salarié ne peut bénéficier de la protection prévue aux articles L 1226-10 et L 1226-14 du Code du travail que s’il établit que son inaptitude a, au moins partiellement, pour origine une maladie professionnelle dont l’employeur connaissait l’existence au moment du licenciement...

PROCÉDURE CIVILE – Péremption d’instance dans une procédure orale : l’absence de diligence exigible des parties

PROCÉDURE CIVILE – Péremption d’instance dans une procédure orale : l’absence de diligence exigible des parties Selon l’article 386 du Code de procédure civile, l’instance est périmée lorsqu’aucune partie n’accomplit de diligences pendant deux ans...

FISCAL – Primo-accession : les conditions d’exonération des droits de mutation précisées par décret

FISCAL – Primo-accession : les conditions d’exonération des droits de mutation précisées par décret Initialement, l’article 1594 F septies du Code général des impôts prévoit une exonération ou une réduction de droits de mutation, par les départements, en faveur des particuliers qui viennent d’acquérir leur première propriété, sous condition d’affecter le bien à leur résidence principale..

SOCIAL – Maladie pendant les congés : la Cour de cassation consacre le droit au report des jours de congé payé

SOCIAL – Maladie pendant les congés : la Cour de cassation consacre le droit au report des jours de congé payé Par un arrêt du 10 septembre 2025, la chambre sociale de la Cour de cassation a opéré en un revirement majeur en matière de congés payés...

MESURES D’EXÉCUTION – Frais scolaires et saisie-attribution : la créance est déterminable, liquide et recouvrable !

MESURES D’EXÉCUTION – Frais scolaires et saisie-attribution : la créance est déterminable, liquide et recouvrable ! Conformément aux articles L.111-2 et L.111-6 du Code des procédures civiles d’exécution, le créancier muni d'un titre exécutoire constatant une créance liquide et exigible peut en poursuivre l’exécution forcée, une créance étant liquide dès lors qu’elle est évaluée en argent ou que le titre contient tous les éléments permettant son évaluation...

BANCAIRE – La remise de chèques ne suffit pas à prouver l’existence d’une dette

BANCAIRE – La remise de chèques ne suffit pas à prouver l’existence d’une dette Selon les articles 1353 du Code civil et L.131-35 du Code monétaire et financier, lorsque la demande en paiement d’une somme d’argent inscrite sur un chèque n’est pas fondée sur le droit cambiaire, mais sur le rapport contractuel liant le tireur au bénéficiaire, il appartient à celui qui réclame le paiement de prouver l’existence de l’obligation dont il poursuit l’exécution...
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